Diverses autres questions peuvent devoir être réfléchies au plus tôt lorsqu’on envisage de divorcer.
Plusieurs critères doivent être pris en compte.
La disponibilité des parents est évidemment un critère important.
L’intérêt de l’enfant est le critère principal qui est celui sur lequel se base les juges aux affaires familiales.
Dans la mesure du possible il est souvent recommandé dans l’intérêt de l’enfant de faire en sorte que l’enfant puisse passer autant de temps avec l’un et l’autre de ses parents.
La garde alternée consiste à passer une semaine sur deux chez ses parents.
Une autre solution peut consister à déterminer que l’enfant vivra chez l’un de ses parents et que l’autre disposera d’un droit de visite.
Le droit de visite peut s’exercer par exemple un week-end sur deux. On parle de droit de visite lorsque le parent chez qui le domicile de l’enfant n’est pas fixé héberge l’enfant un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.
En plus d’un week-end tous les quinze jours, il est possible de prévoir que durant la semaine qui n’est pas celle du week-end du droit de visite le parent pourra héberger l’enfant en milieu de semaine et ainsi potentiellement s’occuper de l’enfant durant le mercredi si celui-ci n’a pas de scolarité le mercredi.
On parle alors de droit de visite élargie.
Les parents peuvent tout prévoir pour les vacances scolaires.
De façon classique les parents ont la charge des enfants la moitié des vacances scolaires.
Il est souvent prévu que la première moitié des vacances l’enfant soit avec l’un de ses parents les années paires et avec l’autre la seconde moitié et que pour les choses s’inversent pour les années impaires.
Cela a notamment de l’intérêt pour les vacances de noël en ce que cela permet à l’enfant de passer noël une année sur deux chez l’un de ses parents et de passer le nouvel an avec le parent avec lequel il n’a pas passé noël.
Généralement les vacances scolaires sont partagées par moitié ou par quinzaine.
L’avantage du partage par quinzaine est d’éviter de séparer trop longtemps l’enfant du parent avec lequel il n’est pas.
L’avantage d’un partage par moitié est qu’il facilite l’organisation de vacances plus longues permettant de voyager plus facilement à l’étranger.
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